Ainsi s'achève...
FIN
FIN
Ces lettres ont cette saveur de l'éphémère joie d'un accomplissement de fin d'été.
夏の果 marque pour moi cette apogée imaginaire du basculement dans un autre univers.
L'été à Paris, lui, est à apprivoiser, tant ses pics de chaleurs sont de plus en plus redoutés dans des logements mal adaptés... Dormir à plus de 30 degrés cela épuise. La chance fut sans doute la venue de quelques vagues de fraicheurs brisant la monotonie calorifère .
Cet été parisien offre pourtant des opportunités et promesses de motivations pour des activités souvent inabouties le reste de l'année : ici une lecture de roman, là un développement photos...
Et puis, profitant de l'absence d'activités extra-professionnelles pendant deux mois, j'ai décidé de me remettre à écrire des nouvelles.
L'envie était revenue il y a quelques mois, à l'occasion d'un voyage au Japon, avec une interrogation : où écrire à Tokyo ? L'autre jour K me conseillait les cafés Renoir sans certitude que cela me convienne. Il serait capable d'écrire un roman sur un coin de table d'un rade de banlieue. Mais écrire dans quels repères? Il aura donc fallu attendre juillet et août pour retrouver des mécanismes, tics de langages et d'écritures, des rapports avec des personnages tendant vers certaines habitudes...
Août se cherche un peu cette année et le mot FIN est bien vite arrivé.
Où écrire à Tokyo? Des réponses ici. https://ouecrireatokyo.blogspot.com/
RépondreSupprimerAvec beaucoup de retard, merci. J'utiliserai probablement ces conseils le mois prochain.
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